Pour faire suite à un précèdent billet sur la viande, il serait intéressant d’aller encore de l’avant et mettre en place des stratégies pour bannir totalement la viande industrielle de nos cantines.
Avant toute chose, je vous invite à consulter les 8 billets suivants et à visionner la vidéo de Fabrice Nocolino, auteur du livre-enquête « Bidoche » sur les ravages de l’industrialisation de la viande
A nous de réfléchir tous ensemble à ce que l’on peut faire concrètement et sans plus attendre. Voici plusieurs propositions que je trouve fort pertinentes, relevées dans un des derniers billet de notre excellent voisin de blog, Vincent Poizat.
J’en profite pour lancer un appel à un(e) nutritionniste spécialisé(e) en restauration collective et défenseur de l’alimentation bio.
Nous avons besoin de vous pour nous conforter sur le sujet, pour rassurer les parents, pour convaincre les politiques, pour impliquer les enfants, pour former le personnel et pour finalement élaborer de véritables menus à forte dominante végétale.
Pour terminer, je vous invite a consulter ces deux documents qui mettent en lumière deux effets dramatique de notre surconsommation de viande : La famine d’un milliard d’êtres humains (dont la majorité sont des enfants) et le martyre de millions d’animaux (dont la majorité sont des jeunes).
3 Comments
[…] This post was Twitted by bio64com […]
Après ces images comment peut-on encore croire qu’en mangeant du jambon, issu de cette « industrie » (boucherie au sens second du terme) on ne tombera pas malade.
Je préfère manger moins de viande, moins de charcuterie (alors que je suis d’origine Alsacienne !!!) mais avaler des choses de qualité qui n’ont pas engendré une telle souffrance et un tel manque de respect de l’animal (et du consommateur)
En tant que paysanne bio du Pays Basque, et de surcroit productrice de viande (ovins et bovins), je ne peux que vous soutenir!
Travaillant déjà avec un lycée local, je sais à quel point l’introduction du bio dans les cantines est bénéfique et satisfaisante, autant du côté du producteur que de celui des élèves et de l’établissement en général.
Donc, en avant toute ! Il reste un grand travail d’éducation à mener pour « banaliser » le bien-manger dans nos cantines.
Si cela vous intéresse, j’explique un petit peu ma ferme, mes animaux, mon quotidien sur http://www.makolatea.com, n’hésitez pas à me donner votre avis.
Bien cordialement,
Maider Etchart